Prix de thèse 2022
Les prix de thèse de l’université de Bordeaux, ont été créés afin d’encourager la qualité des travaux et des thèses et motiver les jeunes chercheurs par la distinction des meilleurs travaux doctoraux, tant fondamentaux qu’appliqués.
- 04/07/2022
Résultats des auditions
37 docteurs toutes disciplines confondues avaient candidaté pour le prix de thèse 2022 organisé par le collège des écoles doctorales. Après une présélection des écoles doctorales, 9 docteurs ont été auditionnés le 30 juin 2022 par un jury international composé d’enseignants-chercheurs. A l’issue des auditions, 4 jeunes docteurs de l’université de Bordeaux ont été récompensées, pour l’excellence de leurs travaux soutenus en 2021.
Le Prix « Sciences humaines et sociales »
Marie PADILLA école doctorale de droit pour ses travaux de recherche portant sur « Droit public et doctrine publiciste au Royaume-Uni. Regard critique sur un objet à (re)construire », thèse dirigée par Marie-Claire PONTHOREAU-LANDI (CERCCLE).
Le Prix « Sciences et technologies »
Vincent BERTIN école doctorale Sciences Physiques et de l'Ingénieur pour ses travaux de recherche portant sur« Écoulements au voisinage d’interfaces molles : les rôles de l’élasticité, la capillarité & les fluctuations », thèse dirigée par Thomas SALEZ (Laboratoire Ondes et Matière d’Aquitaine) et Elie RAPHAEL (ESPCI).
Le Prix « Biologie-santé »
Anaïs VIGNOLES école doctorale Sciences et Environnements pour ses travaux de recherche portant sur « Trajectoires technologiques et dynamiques de niches éco-culturelles du Gravettien moyen au Gravettien récent en France », thèse dirigée par William BANKS (De la Préhistoire à l’Actuel : Culture, Environnement, Anthropologie).
Le Prix « Spécial du jury international »
Mélissa MACALLI école doctorale Sociétés, Politique, Santé Publique, pour ses travaux de recherche portant sur « Les conduites suicidaires chez les étudiants : analyse et modélisation du risque dans la cohorte i-Share », thèse dirigée par Christophe TZOURIO (Bordeaux Research Center for Population Health) et Sylvana COTE (Université de Montréal)